« De Kraftwerk, je retiens le son analogique et les rythmes
répétitifs qui m’évoquent les battements d’un coeur, une
marche, une respiration, un geste musical à l’échelle
humaine. »
Yuval Pick a choisi Kraftwerk pour convoquer une mémoire
commune et poursuivre sa recherche sur le collectif.
Cet univers sonore est pour lui l’invention d’un nouveau
romantisme européen qui réinterprète la relation de
l’homme à son environnement urbanisé et mécanisé. Il
aborde le mouvement comme une « mécanique humaine »
et rassemble des matériaux de natures différentes pour
créer une nouvelle danse d’ensemble.
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